Elle ne se sent même pas malheureuse, elle semble se trouver à sa place dans sa prison de verre, maquillée habillée comme une poupée de luxe, elle appelle une soubrette pour qu’elle lui serve de jolis macarons assortis à sa robe rose,elle passe une grande partie de la journée devant son miroir,à se coiffer, se maquiller,traquer la moindre petite ride naissante qu’elle fera éliminer à coup de « botox » Ses ongles des pieds et des mains sont recouvert d’un vernis étincelant ,elle attend que son mari rentre pour qu’il aille l’exposer dans un cocktail mondain ou il lui demandera de ne pas trop ouvrir la bouche…
Eh oui, j’en connais de ces potiches. Finalement, ça convient à celles qui n’ont aucun esprit de décision, d’ambition, d’idée d’où aller et comment y arriver. Le mariage avec « mon mari n’est pas d’accord » ou « mon mari adore quand » est la solution parfaite pour une vie que les pensées n’habitent jamais 🙂
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J’ai fait un saut ce week-end à Saint-Raphaël, et j’ai vu plein de Barbies dans leur prison de verre…
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c’est un peu triste!
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Elles n’ ont pas l’air malheureuses. Peut-être que le « botox » fige également la zone de la conscience de soi ? Du bonheur, et malheur ?
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Quelle horrible vie…!
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cela existe encore hélas!
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