J’admire la perfection ce grand-écart, même très jeune il n’y avait rien a faire! j’essayais jusqu’à avoir mal mais mes jambes ne formaient qu’un modeste triangle, ma soeur aînée y arrivait bien et j’étais admirative! Avec le temps je me suis résignée à quoi cela m’aurait il servit dans le fond?Je crois qu’il faut connaître ses limites et les accepter sereinement,sans colère ni culpabilité…être un peu diminuée physiquement ne nous empêchera pas de faire beaucoup de choses, ce n’est pas le corps qui effectue le plus de chose c’est la tête qui décide de tout…
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UNe de mes chéries, Suzon, a fait le grand écart jusqu’à 90 ans. Puis on lui a déconseillé de reprendre après qu’elle se soit cassée le col du fémur. C’était une enfant de la balle, meneuse de revue (de poche), et de la troupe de Lucé Cancan (je ne sais pas pourquoi, j’allais souvent faire des reportages sur cette association) … Elle s’entrainait avec des étirements tous les jours dans sa salle de bains.
Je jour de ses 100 ans, elle dansait avec des talons aiguilles chaussures bleues, sa couleur favorite.
Elle est morte à 101 ans et demi le 3 février 2015. Elle me manque. Je l’aime toujours. Nous nous aimons toujours…. Elle n’aimait pas les vieux parce qu’ils se palpaient toujours. Elle me donnait le bras, habillée avec des blousons dorés. Elle avait 10 ans dans sa tête et elle est une de celles qui m’ont appris la vie. Quand on lui disait: « Mettez vos lunettes , Madame Goetzbueur, pour lire ». Elle répondait du tac au tac: « Je ne porte pas de lunettes. J’en ai jamais eu besoin… » Elle m’a appris à rester éternellement jeune…
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une femme formidable!!
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Génial. Tu peux lire l’interview que j’ai faite d’elle sur mon blog en deux parties. A côté de mon compteur (au dessus il y a une barre avec go tu fais interview suçon et ça devrait marcher
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Une frangine sportive. bon dimanche
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je n’ai jamais été capable même petite et mince de m’asseoir en tailleur alors le grand écart on oubli
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